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l’insécurité est de plus en plus grandissante dans les communes abidjanaises. |
La Star montante de la musique Wê, Petit BAHI a été attaqué ce vendredi 5 septembre 2014 aux environs de 03h du matin par des individus non encore identifiés.
La scène s’est passée sur le pont de la PEMI à Yopougon (Sicogi). Selon les témoins sur place, la victime aurait reçu plus de 10 (dix) coups de couteaux à travers le corps.
L’artiste Petit Bahi est aussi producteur d’autres artistes, dont Balou 1er, une autre bonne figure de la musique Wê. Et c’est bien ce dernier qui aurait invité son producteur (Petit Bahi) à le soutenir pour une réception organisée par l’un des parrains des artistes Wê de Côte d’ivoire. La cérémonie a eu lieu à
Yopougon non loin du Pont Vagabond. C’est donc de retour de la soirée que Petit Bahi en rentrant chez lui qu’il a été sauvagement agressé par des individus mal intentionnés. La victime a été admise aussitôt à la clinique des Orchidées non loin du terminus 47 (Sicogi). Alerté aux environs de 04h30 du matin, son frère cadet, Théo Benny Penan (président des managers des artistes Wê de CI) s’est rendu aussitôt sur les lieux avec plusieurs proches de l’artiste.
« Il a saigné toute la nuit. Il est très faible. Nous continuons de prier afin qu’il ne rechute pas » confie le frère cadet.
Les prières exaucées !
Fort heureusement les dernières nouvelles sont rassurantes. La famille de la victime a confirmé que l’artiste est finalement rentré chez lui au quartier Maroc (Yopougon).
Une plainte contre X pour agression, séquestration, coups et blessures a été déposée auprès du commissariat du 16 e arrondissement, à Abidjan (Yopougon) qui a aussitôt ouvert une enquête afin que toute la lumière soit faite sur cet acte crapuleux, pour que les coupables répondent devant la justice.
Une plainte contre X pour agression, séquestration, coups et blessures a été déposée auprès du commissariat du 16 e arrondissement, à Abidjan (Yopougon) qui a aussitôt ouvert une enquête afin que toute la lumière soit faite sur cet acte crapuleux, pour que les coupables répondent devant la justice.
Jean-Marie TIEMELE
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