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vendredi 24 avril 2015
Vidéo exclusive: la Guinée se déchire autour du calendrier électoral
Une manifestation de l’Opposition « interdite » par les autorités du pays a été violemment réprimée ce jeudi 23 avril 2015 par les forces de l’ordre en Guinée. Au moins un mort a été enregistré à Labé dans le Nord-est du pays, au cours des heurts entre forces de l’ordre et manifestants.
mardi 21 avril 2015
Direction de campagne de Ouattara: non, Soro pas intéressé
« Le Président Guillaume
Soro, dont je suis un proche collaborateur et ami, n’a jamais sollicité
la fonction de Directeur de Campagne du Président de la République pour
l’élection 2015. »
Dans l’Interview ci-dessous, le Professeur Franklin Nyamsi
éclaire l’opinion nationale et internationale sur quelques enjeux de
l’heure en Côte d’Ivoire. Appréciez donc ses réponses au Journaliste
Français Roger Le Rouyet.
Question 1 : Professeur
Franklin Nyamsi, vous vous êtes fendu d’une longue tribune sur le site
du Président de l’Assemblée Nationale de Côte d’Ivoire qui a eu un écho
sur la place. L’opinion internationale y découvre en filigrane la
dénonciation des allégations mensongères de ce que vous nommez « le
journalisme aventurier ». Qui visez-vous en particulier ?
Réponse 1 : Cher M.
Roger Le Rouyet, je me réjouis d’emblée de l’intérêt que la presse
internationale porte au site du président de l’Assemblée Nationale de
Côte d’Ivoire, où j’anime régulièrement une chronique d’analyse
politique internationale. C’est le signe d’une bonne santé de la vie
parlementaire ivoirienne, mais aussi d’une évolution positive de
l’émergence démocratique dans ce pays. Pour vous toucher un mot de ma
dernière tribune, elle avait essentiellement quatre finalités :
premièrement, restituer la vraie nature du tempérament politique de Guillaume Soro
dans le cadre de son intelligence précoce du politique, qui lui a valu
d’être secrétaire général du plus puissant syndicat estudiantin ivoirien
des années 90 à 23 ans, leader de la résistance militaro-politique
contre l’idéologie criminelle de l’ivoirité à 29 ans, ministre d’Etat à
30 ans, premier ministre à 34 ans, président de l’Assemblée Nationale à
39 ans. Série de records qui fait de lui un homme d’Etat remarquable et
non un « homme pressé » comme une certaine presse pernicieuse veut le
dépeindre. Deuxièmement, j’ai établi que le Parlement Ivoirien actuel a
bénéficié du carnet d’adresses national et international de Guillaume
Soro et non l’inverse, puisque la diplomatie parlementaire qu’il a
magistralement déployée, mais aussi les lois modernes votées en bonne
intelligence avec l’exécutif témoignent d’une bonne maîtrise de la
démocratie représentative. Troisièmement, j’ai montré que l’implication
de Guillaume Soro dans l’évolution de son parti, le RDR, ne date pas du
Congrès de 2015, où il a du reste été chaleureusement ovationné. Dès
1995, Guillaume Soro, alors Secrétaire Général de la FESCI, avait
participé à la construction du Front Républicain rassemblant les forces
de gauche et de droite moderniste ivoiriennes, pour consolider la
tradition démocratique dans son pays. Son engagement auprès du président
d’alors du RDR, le Dr Alassane Ouattara s’étant, entre autres,
matérialisé par une loyauté sacrificielle dont peu de personnes sont
capables en politique. Quatrièmement, je me suis attaché à montrer,
contre la vulgate mensongère, que loin d’être affaibli par la dilution
des ex-Forces Nouvelles dans l’armée républicaine ivoirienne, Guillaume
Soro, qui pratique à merveille l’art de la séparation des pouvoirs, se
réjouit de voir que son combat a rendu possible la consolidation des
Forces Républicaines actuelles au service du peuple entier de Côte
d’Ivoire. Cette mise au point s’adressait autant aux officines
d’intoxication de l’intérieur que de l’extérieur de la Côte d’Ivoire.
Celui qui se sent morveux, dans cette affaire, se mouchera donc tout
naturellement...Lire la suite sur: www.laregionale.com
Violence en Afrique du Sud : Mandela s’est retourné dans sa tombe !
Au soir de sa vie, le
désormais légendaire dirigeant de l’Afrique du Sud post-apartheid,
Nelson Mandela, rêvait d’un héritage qui lui survivrait. Celui d’une
Afrique du Sud unie dans la diversité de ses peuples et de leurs
croyances, de ses couleurs à l’emblème arc-en-ciel et de son avenir qui
s’écrirait en deux mots : paix et tolérance. Le « Vieux », le « Sage »,
le « Chef » des Xhosa s’est endormi confiant.
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