Le biologiste japonais Yoshiki Sasai
Le corps de M. Sasai a été découvert dans la matinée par un employé au centre de biologie de l’institut de recherche public Riken, à Kobe (ouest). Transporté à l'hôpital, son décès a été rendu public deux heures plus tard.
Un directeur de la communication de Riken, lors d’une conférence de presse, indique que quatre lettres ont été retrouvées près de son corps et sur le bureau de secrétaire.
Spécialiste des cellules souches, Yoshiki Sasai, était un éminent biologiste. Il a été accusé de ne pas avoir détecté les « contrefaçons » dans les données présentées par Mme Obokata, qu’il épalait. Des accusations qui l’avaient durement affecté, selon des proches.
Quel est le contenu des lettres laissées par M. Sasai, dont une serait adressée à sa cadette? Personne ne le sait pour le moment. En attendant, un responsable de Riken s’est prononcé sur le préjudice que pourrait entraîner ce décès: «Nous allons faire en sorte que les circonstances actuelles (créées par le suicide de M. Sasai) n’aient pas de conséquences sur les autres recherches», a-t-il assuré.
Pour un responsable du ministère de la Science :«C’est un homme à la pointe de la recherche cellulaire qui a disparu et de ce point de vue c’est une grande perte.
Franck DAGRI
Un directeur de la communication de Riken, lors d’une conférence de presse, indique que quatre lettres ont été retrouvées près de son corps et sur le bureau de secrétaire.
Spécialiste des cellules souches, Yoshiki Sasai, était un éminent biologiste. Il a été accusé de ne pas avoir détecté les « contrefaçons » dans les données présentées par Mme Obokata, qu’il épalait. Des accusations qui l’avaient durement affecté, selon des proches.
Quel est le contenu des lettres laissées par M. Sasai, dont une serait adressée à sa cadette? Personne ne le sait pour le moment. En attendant, un responsable de Riken s’est prononcé sur le préjudice que pourrait entraîner ce décès: «Nous allons faire en sorte que les circonstances actuelles (créées par le suicide de M. Sasai) n’aient pas de conséquences sur les autres recherches», a-t-il assuré.
Pour un responsable du ministère de la Science :«C’est un homme à la pointe de la recherche cellulaire qui a disparu et de ce point de vue c’est une grande perte.
Franck DAGRI
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