Dans le cadre du dialogue
politique entre l’opposition et le gouvernement, Mamadou Koulibaly
président-fondateur du Lider (Liberté pour la démocratie pour la
République était l’invité de la rédaction de Onuci-fm le mercredi 28
janvier 2015.
Etes-vous convié à la reprise du dialogue politique ?
Oui, nous avons reçu un courrier du ministre d’Etat, Jeannot Kouadio Ahoussou qui nous invite à une reprise du dialogue entre l’opposition et le gouvernement le jeudi 29 janvier 2015 à 16heures à son cabinet quelque part au Deux-Plateaux.
Oui, nous avons reçu un courrier du ministre d’Etat, Jeannot Kouadio Ahoussou qui nous invite à une reprise du dialogue entre l’opposition et le gouvernement le jeudi 29 janvier 2015 à 16heures à son cabinet quelque part au Deux-Plateaux.
Autour de quelle thématique ?
Il y a selon la lettre, 3 points à l’ordre du jour, un premier point d’information, un deuxième sur les avancées du dialogue gouvernement-opposition et un troisième point sur les questions pendantes parmi lesquelles le gouvernement a listé trois sujets. A savoir, le financement des partis politiques, les statuts de l’opposition et les questions électorales. Les trois points qui comptent vraiment sont le financement des partis politiques. Vous vous rendez compte que nous sommes dans l’année électorale. Il s’est passé quatre ans sans que le gouvernement ne finance les partis politiques. Et c’est en année électorale que nous venons discuter de cela. Il en est de même pour le statut de l’opposition. Le point focal et le plus important aujourd’hui pour l’opposition, le gouvernement, ce sont les questions électorales. Et nous constatons que le gouvernement a classé ce point à la fin. C’est-à-dire à la fin de la réunion où tout le monde est fatigué. A mon avis si ce dialogue, cette réunion du 29 janvier devait avoir lieu , il aurait fallu qu’on ait un seul point à l’ordre du jour c’est-à-dire les questions électorales. Les autres sont totalement dépassées aujourd’hui. Je ne suis plus sûr que l’opposition va courir après un statut et un financement. C’est trop tard. Il aurait fallu financer cette opposition il y a trois ans pour qu’elle aille en campagne faire son installation et parler aux populations. En année électorale on parle maintenant de financement des élections, carrément. Ce sont les questions électorales : la liste électorale, la commission électorale, les conditions de sécurité et l’accès au medias de l’Etat qui sont importantes. Ils ont mis les questions électorales en annexe. Ce n’est pas bien...Lire la suite sur www.laregionale.com
Il y a selon la lettre, 3 points à l’ordre du jour, un premier point d’information, un deuxième sur les avancées du dialogue gouvernement-opposition et un troisième point sur les questions pendantes parmi lesquelles le gouvernement a listé trois sujets. A savoir, le financement des partis politiques, les statuts de l’opposition et les questions électorales. Les trois points qui comptent vraiment sont le financement des partis politiques. Vous vous rendez compte que nous sommes dans l’année électorale. Il s’est passé quatre ans sans que le gouvernement ne finance les partis politiques. Et c’est en année électorale que nous venons discuter de cela. Il en est de même pour le statut de l’opposition. Le point focal et le plus important aujourd’hui pour l’opposition, le gouvernement, ce sont les questions électorales. Et nous constatons que le gouvernement a classé ce point à la fin. C’est-à-dire à la fin de la réunion où tout le monde est fatigué. A mon avis si ce dialogue, cette réunion du 29 janvier devait avoir lieu , il aurait fallu qu’on ait un seul point à l’ordre du jour c’est-à-dire les questions électorales. Les autres sont totalement dépassées aujourd’hui. Je ne suis plus sûr que l’opposition va courir après un statut et un financement. C’est trop tard. Il aurait fallu financer cette opposition il y a trois ans pour qu’elle aille en campagne faire son installation et parler aux populations. En année électorale on parle maintenant de financement des élections, carrément. Ce sont les questions électorales : la liste électorale, la commission électorale, les conditions de sécurité et l’accès au medias de l’Etat qui sont importantes. Ils ont mis les questions électorales en annexe. Ce n’est pas bien...Lire la suite sur www.laregionale.com
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