C'est grâce à l'ADN prélevé sur du papier toilette usagé et retrouvé à proximité des lieux du cambriolage, qu'un homme a pu être retrouvé. Il a été condamné à huit mois de prison ferme.
Un cambrioleur, confondu par son ADN prélevé sur du papier toilette usagé retrouvé à proximité des lieux du méfait, a été condamné mardi à huit mois de prison ferme par le tribunal correctionnel de Blois.Une société avait été cambriolée dans la nuit du 22 au 23 novembre 2011 dans une zone d'activité à Oucques (Loir-et-Cher). Les malfaiteurs, qui s'étaient emparés de plusieurs centaines de kilos de cuivre, avaient pris soin d'effacer leurs empreintes digitales mais un enquêteur de la gendarmerie a déniché à proximité du papier-toilette usagé.
L'ADN a parlé: l'homme était bien sur les lieux, contrairement à ce qu'il affirmait. Le tribunal n'a pas été convaincu par ses dénégations et son affirmation d'avoir seulement cédé à un besoin pressant dans cet endroit écarté.
Article rédigée par la rédaction d'iTELE avec AFP
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