Sur fond de soupçons et de
calomnies, Evelyne Yapo a finalement passé la main ce lundi 23 février
2015. Il aurait fallu aux détracteurs, l’utilisation de toutes les
combines pour avoir la tête de cette dame dont la probité morale reste à
ce jour immuable. Evelyne Yapo, l’ancienne DG de l’Ecole nationale
d’administration (Ena), a commis un seul et vrai pêché, celui de ne pas
porter un nom à consonance nordique ou du moins de ne pas être
originaire du Nord du Royaume. Le « Yapo » a fait d’elle persona non
grata, dès l’arrivée en mars 2014, du député de Koumassi au département
de la fonction publique et de la réforme administrative.
Sur la sellette, Evelyne Yapo,
s’est battue comme elle le pouvait pour convaincre son nouveau patron
de sa probité morale. Rien n’y fit ! Elle ne réussira pas. La cabale
venait de trop loin. Son débarquement à la tête de cette institution qui
intervient à huit mois de la présidentielle, était plus que nécessaire.
Et pour cause, la liste des personnes à caser s’est rallongée depuis la
suspension du concours de l’Ena, concours d’élites, en 2011.
L’intraitable et réformiste Gnamien Konan est passé par là. Enfin,
Evelyne Yapo, la mal aimée est partie. D’ailleurs elle devrait s’y
attendre, ça y va des postes à nomination. C’est toutefois le soupçon
qu’on laisse sciemment pesé sur elle, qui est polémique. Vive la
nouvelle DG de l’Ena ! Vive Traoré Salimata !...Lire la suite sur: www.laregionale.com
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