L’indigne mère porte en ce moment une grossesse de 6 mois de son fils (photo d'illustration )
Dame Betty
Mbereko, une Zimbabwéenne de 40 ans, vit une romance pour le moins
incestueuse avec son fils Farai âgé quant à lui de 23 ans. Enceinte de
six mois, l’amoureuse de mère a décidé de se mettre définitivement en
couple avec son fils qu’elle considère désormais comme l’élu de son
cœur. Une véritable histoire de damnés !
Un célèbre écrivain africain disait et à juste titre qu’ : « Une bonne mère, une bonne sœur et un bon ami sont des dons providentiels que Dieu n’accorde pas en grande quantité parce qu’ils procurent le repos ».
Et oui ! Avoir une mère, respectueuse des règles de la décence procure le repos. Le contraire par contre n’est que misère et enfer.
Au Zimbabwe une mère ( ?) de 40 ans qui s’offrait en plein temps les services libidinaux de son fils de 23 ans a touché le fond de l’infamie en affirmant vouloir se mettre en couple avec ce dernier, prétextant être amoureux l’un de l’autre.
Par ailleurs, la mère soutient qu’après avoir injecté beaucoup d’argent dans la scolarité de son fils, elle a tout à fait le droit de s’approprier les faveurs sexuelles de son rejeton pour éviter qu’une intruse ne profite de lui.
« Ecoutez, je m’efforçais seule à envoyer mon fils à l’école et personne ne m’a aidée. Maintenant que vous voyez que mon fils travaille, vous m’accusez de faire quelque chose de mal. Permettez-moi de profiter des produits de ma sueur», s’est justifiée cette étrange mère devant le conseil de son village.
Telle mère tel fils !
Pour le fils, la situation n’a rien d’anormale. Il se dit même, être disposé à épouser sa mère et à payer le reste de la dot que son défunt père n’avait pas fini de verser.
«Je sais que mon père est mort avant qu’il ait fini de payer le prix de la mariée et je suis prêt à le payer. Il est préférable de connaître ce qui se passe parce que les gens doivent savoir que je suis celui qui ait rendu ma mère enceinte», insiste-t-il.
Mais la notabilité du village s’est farouchement opposée à cet acte qu’elle qualifie d’abominable.
« Nous ne pouvons pas permettre que cela arrive dans notre village (…). Je vous demande de mettre fin à cette relation ou alors quittez le village », a averti le chef du village, Nathan Muputirwa.
Pour toute réponse, la mère et son fils ont préféré quitter le village.
Jean-Marie TIEMELE
Un célèbre écrivain africain disait et à juste titre qu’ : « Une bonne mère, une bonne sœur et un bon ami sont des dons providentiels que Dieu n’accorde pas en grande quantité parce qu’ils procurent le repos ».
Et oui ! Avoir une mère, respectueuse des règles de la décence procure le repos. Le contraire par contre n’est que misère et enfer.
Au Zimbabwe une mère ( ?) de 40 ans qui s’offrait en plein temps les services libidinaux de son fils de 23 ans a touché le fond de l’infamie en affirmant vouloir se mettre en couple avec ce dernier, prétextant être amoureux l’un de l’autre.
Par ailleurs, la mère soutient qu’après avoir injecté beaucoup d’argent dans la scolarité de son fils, elle a tout à fait le droit de s’approprier les faveurs sexuelles de son rejeton pour éviter qu’une intruse ne profite de lui.
« Ecoutez, je m’efforçais seule à envoyer mon fils à l’école et personne ne m’a aidée. Maintenant que vous voyez que mon fils travaille, vous m’accusez de faire quelque chose de mal. Permettez-moi de profiter des produits de ma sueur», s’est justifiée cette étrange mère devant le conseil de son village.
Telle mère tel fils !
Pour le fils, la situation n’a rien d’anormale. Il se dit même, être disposé à épouser sa mère et à payer le reste de la dot que son défunt père n’avait pas fini de verser.
«Je sais que mon père est mort avant qu’il ait fini de payer le prix de la mariée et je suis prêt à le payer. Il est préférable de connaître ce qui se passe parce que les gens doivent savoir que je suis celui qui ait rendu ma mère enceinte», insiste-t-il.
Mais la notabilité du village s’est farouchement opposée à cet acte qu’elle qualifie d’abominable.
« Nous ne pouvons pas permettre que cela arrive dans notre village (…). Je vous demande de mettre fin à cette relation ou alors quittez le village », a averti le chef du village, Nathan Muputirwa.
Pour toute réponse, la mère et son fils ont préféré quitter le village.
Jean-Marie TIEMELE
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