« Les textes du Fpi ne
sont pas faits pour être analysés par un juge. Ils sont faits pour être
interprétés par un comité de contrôle qui est un organe juridictionnel
et politique. Nos textes sont là pour être interprétés de façon
politique. (…) En la matière, il faut tenir compte des circonstances et
non faire une application mécaniques des textes », a dit Pr. Hubert
Oulaye dans les échanges qui ont suivi ses propos liminaires.
Pour le conférencier, le juge s’est prononcé sur la « démission » supposée de Pascal Affi N’guessan
alors que le comité central qui le suspend, mais mieux, l’avocat qui a
défendu la partie Sangaré mettait l’accent sur « l’empêchement du
président du parti» aux termes de l’article 90 des statuts. « Affi
N’guessan a refusé d’organiser au total 16 réunions statutaires en usant
toujours de subterfuges », souligne Hubert Oulaye. C’est bien, selon lui, cette situation qui a amené le comité central à prendre la résolution de sa suspension...Lire la suite sur: www.laregionale.com
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